Suisse
La corruption reste un problème en Suisse
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La Suisse ne peut dresser qu'un bilan mitigé en matière de lutte contre la corruption, regrette Transparency International dans un communiqué vendredi. Une situation "indigne" qui appelle à des mesures urgentes.
La Suisse ne fait pas partie des bons élèves dans la lutte contre la corruption. "Les nombreuses failles dans son dispositif de prévention et les scandales qui ont éclaté récemment devraient enfin nous faire prendre conscience que chaque affaire de corruption est une affaire de trop", souligne Eric Martin, président de Transparency International Suisse.
Selon l'ONG, la Suisse est touchée par une série de problème de corruption, dont notamment des frais excessifs et cadeaux inappropriés offerts à des agents publics, l'opacité du financement de la vie politique, des failles du dispositif antiblanchiment d’argent ou des insuffisances relevées dans le domaine des entreprises et des fédérations sportives internationales.
Confiance indispensable
Dans les cas touchant "des agents publics impliqués, un simple indice de corruption est déjà nuisible à lui seul", prévient M.Martin. Ces cas risquent de remettre en question "la confiance dans nos institutions, indispensable au bon fonctionnement de toute démocratie."
Transparency International appelle donc à la mise en place de mesures urgentes. Elle demande entre autre une stratégie globale de lutte anti-corruption, une amélioration de la loi sur le blanchiment d’argent, un code de conduite contraignant pour les responsables politiques, ainsi que la transparence du financement de la vie politique et un meilleur contrôle des fédérations sportives internationales ayant leur siège en Suisse.
(KEYSTONE-ATS)
Suisse
Criminalité: le bracelet électronique a fait ses preuves
Les décisions accordant un bracelet électronique ont augmenté de 25% entre 2018 et 2023 en Suisse. Cette alternative à la prison ferme a fait ses preuves, estime le Conseil fédéral dans un rapport. Son application ne devrait toutefois pas être étendue pour l'instant.
Depuis 2018, la surveillance électronique des délinquants condamnés peut être assurée grâce à des bracelets électroniques dans toute la Suisse, comme alternative à la prison ferme. Elle n'est possible que s'il n'y a pas lieu de craindre que le condamné s'enfuit ou commet d'autres infractions.
La surveillance électronique contribue notamment à atténuer le problème du manque de places de détention. Elle permet en outre à la personne condamnée de rester présente au sein de son cercle social pendant qu'elle purge sa peine, ce qui facilite grandement sa réinsertion, estime le gouvernement dans un communiqué.
Entre 2018 et 2023, on a constaté une augmentation de 25% des décisions accordant la surveillance électronique dans 25 cantons, montre le rapport. Il existe toutefois encore des différences significatives entre les cantons.
Les cantons urbains et ceux qui avaient participé au projet-pilote avant l'introduction dans toute la Suisse s'en servent davantage. Vaud, Genève et Berne arrivent en tête pour le nombre de décisions. Les modalités de mise en ½uvre concrète sont en revanche similaires.
Pas besoin d'étendre
La question d'une extension des durées minimale et maximale permettant le recours à la surveillance électronique a également été étudiée.
Les durées sont définies dans le code pénal: soit pour l'exécution d'une peine privative de liberté de 20 jours à 12 mois, soit à la fin de l'exécution d'une peine privative de liberté, pour une durée de trois à 12 mois, en tant qu'allègement de peine. Plus de 90% des décisions concernent le premier cas.
La majorité des cantons estiment que la norme en vigueur est adéquate, compte tenu de la jurisprudence récente du Tribunal fédéral. Cette dernière permet désormais de considérer des peines avec sursis partiel jusqu'à 36 mois pour entamer une mesure sous bracelet électronique. Le Conseil fédéral partage cet avis.
Pas sur les violences sexuelles
La surveillance électronique des auteurs de violences domestiques et sexuelles n'a pas été abordée dans le rapport, précise le Conseil fédéral. Des essais de surveillance électronique dans ce domaine sont en cours dans une dizaine de cantons.
Le ministre de la Justice Beat Jans recommande un recours accru au bracelet électronique et à un système d’alarme pour surveiller les auteurs de violences contre les femmes. "Aucun autre crime violent ne fait autant de victimes que la violence contre les femmes", a rappelé le Bâlois à plusieurs reprises.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Les cantons seront obligés de se préparer aux crises sanitaires
La Suisse doit être mieux préparée face aux pandémies. La coordination entre les cantons et la Confédération doit être améliorée et le passage entre les différentes situations clarifié. Mais le Conseil fédéral refuse mercredi d'introduire une obligation vaccinale.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Les cantons seront obligés de se préparer aux crises sanitaires
La Suisse doit être mieux préparée face aux pandémies. La coordination entre les cantons et la Confédération doit être améliorée et le passage entre les différentes situations clarifié. Mais le Conseil fédéral refuse mercredi d'introduire une obligation vaccinale.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
Lac de la Gruyère: initiative de protection jugée trop restrictive
Le Conseil d'Etat fribourgeois appelle à rejeter l’initiative constitutionnelle "Pour la sauvegarde du lac de la Gruyère", soumise à votation le 28 septembre. L'exécutif juge le texte "trop restrictif", à l'instar du Grand Conseil et de toutes les communes riveraines.
L'initiative "va à l’encontre de l’objectif du Conseil d’Etat visant à trouver un équilibre entre la protection du paysage du lac de la Gruyère et la possibilité donnée à l’humain de se ressourcer dans des espaces naturels", a indiqué mercredi le président du gouvernement Jean-François Steiert, chargé de l'environnement.
Entièrement rédigé, le texte propose de modifier la Constitution cantonale afin de considérer le lac, ses abords et l’ensemble de ses rives comme un patrimoine naturel cantonal à préserver et à protéger.
Selon l'exécutif, la sauvegarde du lac de la Gruyère, reconnu paysage d’importance cantonale (PIC), est déjà assurée par les législations fédérale et cantonale, qui ont par exemple entraîné l’abandon du projet de vague artificielle Goya Onda, à l’origine de l’initiative.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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