Suisse
Le Conseil fédéral veut encadrer la conduite automatisée
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Les véhicules automatisés pourraient être autorisés en Suisse. Le Conseil fédéral a transmis mercredi au Parlement une révision de la loi sur la circulation routière, qui touche un large spectre de domaines.
De tels véhicules peuvent contribuer à améliorer la sécurité routière, à fluidifier le trafic et à réduire les émissions polluantes, note le gouvernement dans un communiqué. Ils offrent également de nouvelles possibilités pour les milieux économiques et les prestataires de services de transport.
C'est pourquoi le Conseil fédéral entend leur ouvrir la voie. Les conditions de leur intégration dans le trafic doivent être définies. Il s'agit notamment de déterminer dans quelle mesure les conducteurs pourront être déchargés de leurs obligations et dans quel cadre les véhicules sans conducteur circulant sur des tronçons prédéfinis pourront être admis.
L’Office fédéral des routes doit aussi obtenir la possibilité d’autoriser et de soutenir financièrement des essais avec des véhicules automatisés.
La réforme entend également améliorer la sécurité routière pour les jeunes cyclistes. Les enfants et adolescents jusqu'à 16 ans devront porter un casque lorsqu'ils font du vélo. Le Conseil fédéral justifie cette décision par l'augmentation des accidents graves chez les cyclistes de plus de 12 ans. Parallèlement, le port du casque diminue à partir de cet âge, pointe-t-il.
Peines minimales réduites
Les peines découlant de délits de chauffard seront elles revues. La peine privative de liberté d’un an au minimum sera supprimée. Et la durée minimale du retrait du permis de conduire sera abaissée de 24 à 12 mois. L’obligation de recours des assureurs en responsabilité civile pour véhicules automobiles sera elle remplacée par un droit de recours en cas de délit de conduite malgré une incapacité ou de délit de chauffard.
Le projet prévoit encore de renoncer à l’éthylomètre anti-démarrage pour les conducteurs ayant été pincés de manière répétée en état d'ivresse. Le Conseil fédéral entend ainsi adapter les mesures du programme Via sicura.
Les autorités d’exécution et les tribunaux se verront conférer une plus grande marge d’appréciation, note le gouvernement. Ils pourront mieux évaluer les circonstances du délit et éviter des cas de rigueur inutiles.
Les nouveaux conducteurs pourront également un peu souffler. Ils ne se verront retirer leur permis à l'essai qu'après deux infractions graves ou moyennement graves. A l'heure actuelle, la deuxième faute de l'automobiliste en herbe n'a pas besoin d'être d'importance pour qu'il perde son autorisation de conduire.
Encourager les technologies propres
La révision contient aussi des mesures visant à promouvoir des technologies respectueuses de l'environnement. Les véhicules qui en sont dotés sont souvent plus longs et plus lourds que les véhicules conventionnels, à cause de leurs batteries ou de leur cabine aérodynamique, relève le Conseil fédéral.
Des exceptions à la longueur et au poids maximaux doivent donc être introduites pour ce type de véhicule. Les capacités de chargement ne seront ainsi pas réduites.
Le poids total d'un véhicule ou d'une remorque pourra lui être modifié de manière plus flexible, auprès du service cantonal des automobiles. Après l'examen par le Parlement, le Conseil fédéral entend mettre en vigueur la révision de la loi de manière échelonnée à partir de 2023.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Lancement d'une pétition pour "sauver" le projet du nouveau Bioparc
A Genève, une pétition a été lancée vendredi afin de "sauver" le projet du nouveau Bioparc prévu sur le site de Belle-Idée à Thônex. L'Association des Amis du Bioparc craint que le canton ne remette en question la nouvelle infrastructure en exigeant des modifications par rapport au projet initial.
L'association rappelle vendredi dans un communiqué que le projet qui comprend un "biodôme" fait l'objet de démarches administratives depuis 2022. "Il nous est demandé de remettre l’ouvrage sur le métier et revoir le tout à la baisse", relève-t-elle.
Mais ce biodôme ainsi que tout le parc ont été conçus avec des architectes appuyés par des spécialistes du bien-être animalier et en concertation avec tous les partenaires du Bioparc, ajoute l'association. Le projet du nouveau Bioparc doit aussi générer des revenus essentiels à l’accomplissement de ses missions.
Le Bioparc, actuellement à l'étroit à Bellevue, prend soin aussi bien d'espèces locales qu'exotiques. Plus de 600 animaux issus de saisies ou d'abandons sont hébergés dans ce parc qui a accueilli 70'000 visiteurs en 2024.
Les pétitionnaires demandent ainsi aux autorités cantonales d’accorder l’autorisation de construire au projet initial. Cette démarche fait suite à un courrier reçu en juin par le Bioparc concernant une demande préalable d'autorisation de construire. Le canton estimait que le projet était hors cadre et ostentatoire.
Terrain public
Dans un entretien publié fin juin dans la Tribune de Genève, le conseiller d'Etat en charge du dossier, Antonio Hodgers, expliquait que "le projet initial visait un centre de soins pour animaux, avec quelques visiteurs. Là, on a l’impression que les animaux servent de prétexte à un centre de loisirs lucratif, sur terrain public". Mais il se défend de vouloir couler le projet.
Le Bioparc a décidé de mettre le projet sur pause jusqu'au départ d'Antonio Hodgers. Le conseiller d'Etat démissionnaire termine son mandat le 31 octobre. Les signatures seront remises après cette date.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Roche: le CHMP émet un avis négatif pour Elevidys
Le Comité des médicaments à usage humain (CHMP) recommande de ne pas accorder d'autorisation de mise sur le marché pour Elevidys (delandistrogene moxeparvovec), un traitement du géant bâlois Roche contre la myopathie de Duchenne pour des patients de 3 à 7 ans.
L'institution, qui émet des avis favorables ou non sur des médicaments ensuite soumis à la Commission européenne, a expliqué sur son site internet vendredi que l'étude n'a pas démontré qu'Elevidys avait un effet sur les capacités de mouvements des patients après douze mois. De plus, des différences avec le placebo n'étaient pas significatives.
Le CHMP précise qu'actuellement, tous les essais cliniques menés avec Elevidys sont temporairement mis en pause et qu'aucun patient n'est traité avec cette thérapie.
Dans un communiqué séparé Roche se dit "déçu" par l'avis défavorable du CHMP, "vu le besoin urgent" de thérapies pour les enfants vivant avec cette maladie dans l'Union européenne, selon Levi Garraway, chef médical du géant pharma. Il se dit confiant à propos de la valeur que peut apporter Elevidys aux patients. A ce jour, 900 personnes, dont 760 en ambulatoire, ont été traités avec Elevidys.
En juin, Roche avait cessé le traitement avec sa thérapie génétique Elevidys de patients atteints de cette maladie et n'étant plus capables de se mouvoir, suite au décès de deux patients.
Le traitement, mis au point par son partenaire massachussetais Sarepta Therapeutics, a déjà obtenu le feu vert des autorités sanitaires aux Etats-Unis, aux Emirats arabes unis, au Qatar, au Koweït au Bahreïn, à Oman, au Brésil et en Israël.
La myopathie de Duchenne est une maladie génétique rare, qui apparaît dans l'enfance et provoque un affaiblissement progressif des muscles.
Vers 13h05, le bon Roche perdait 0,9% à 262,70 francs, dans un SMI en recul de 0,5%.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Genève
Décès d'un motocycliste sur la bretelle autoroutière de Perly (GE)
Un motocycliste né en 1998 est décédé vendredi après avoir perdu le contrôle de son engin sur la voie de raccordement de Perly menant à l'autoroute A1 en direction de Lausanne. L'accident s'est produit peu après 5h00. Il s'agit du quatrième décès sur les routes genevoises depuis le début de l'année.
L'homme a perdu la maîtrise de son deux-roues et est venu heurter à plusieurs reprises la glissière de sécurité, côté gauche, indique vendredi la police genevoise dans un communiqué. Le motocycliste a ensuite chuté. Malgré l'intervention des secours, il est décédé sur place.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Sport
Noémie Kolly, blessée à un genou, range ses skis pour de bon
Noémie Kolly (27 ans) a décidé de mettre un terme à sa carrière. La Fribourgeoise s'était gravement blessée au genou gauche en décembre dernier à Copper Mountain. Elle est encore en rééducation.
"Depuis le début de la rééducation, les douleurs récurrentes m'ont amenée à m'interroger profondément sur la suite de ma carrière. J'ai compris que je ne pouvais plus m'investir pleinement, ni faire les sacrifices exigés par le haut niveau", a déclaré Noémie Kolly dans un communiqué de Swiss-Ski.
La Fribourgeoise avait été vice-championne du monde junior de descente en 2019. Athlète du cadre B, elle a terminé trois fois dans le top 15 en Coupe du monde et fêté deux podiums en Coupe d'Europe. Elle va entamer un nouveau projet professionnel cet automne.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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