Vaud
Morges: budget impacté par la forte hausse des coûts de l'énergie
Le budget 2023 de la Ville de Morges est particulièrement impacté par l'inflation et la forte hausse des coûts de l'énergie. La Municipailté table sur un déficit de 10,3 millions l'an prochain, en légère hausse par rapport à cette année (9,7 millions).
"Cette prévision s'inscrit dans un contexte économique incertain, troublé par le prix croissant de l'énergie. La Municipalité limite l'augmentation de ses charges maîtrisables, tout en assumant ses responsabilités en développant des prestations ciblées. La marge d’autofinancement est en légère augmentation", résume-t-elle mercredi dans un communiqué.
"Les courbes vertigineuses des prix de l'approvisionnement énergétique font peser une grande incertitude sur le budget 2023. Décidée à juguler autant que possible la hausse des coûts, la Municipalité prépare un programme d'économie d'énergie à l'interne", annonce-t-elle en parallèle.
Baisse de la facture péréquative
Les revenus ordinaires affichent une progression de 5,9%, à 150,8 millions de francs, notamment grâce à une hausse des revenus d'impôt sur les personnes morales. Les charges ordinaires sont aussi en augmentation de 5,9%, à 161,2 millions de francs.
Cette situation s'explique notamment par la forte hausse du coût de l'énergie, explique la Ville. L'augmentation est toutefois "tempérée" par les efforts de la Municipalité pour limiter les nouvelles charges maîtrisables effectives et "allégée" par la baisse de la facture péréquative grâce notamment à l'accord Canton-communes.
Les investissements s'élèvent, eux, à 29,6 millions de francs (contre 37,6 millions pour le budget 2022). Il s'agit essentiellement de la rénovation et la reconstruction de l'école de Chanel et l'aménagement du secteur Morges Gare-Sud. La Ville conserve une marge d'autofinancement "stable" de 2 millions de francs.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
AVS: le TF tranchera le 12 décembre sur une nouvelle votation
Le Tribunal fédéral tranchera le 12 décembre en audience publique sur les recours déposés contre la votation populaire du 25 septembre 2022 sur l'âge de la retraite des femmes. Les recourants estiment que le peuple n'a pas pu se prononcer en connaissance de cause.
Le projet AVS prévoyant le relèvement à 65 ans de l'âge de la retraite pour les femmes avait obtenu une majorité de 50,6% des voix seulement. Or, le 6 août 2024, l'Office fédéral des assurances sociales a annoncé que ses prévisions concernant le financement de l'AVS étaient entachées de graves erreurs.
Ce développement a amené les Vert-e-s, les Femmes socialistes et un avocat vaudois à déposer des recours devant le Tribunal fédéral contre la votation du 25 septembre 2022. Ils demandent l'annulation du résultat et la répétition du scrutin. L'audience aura lieu le jeudi 12 décembre, comme l'indique le journal Le Temps.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Annulation partielle de la nouvelle loi lucernoise sur la police
Le Tribunal fédéral annule plusieurs dispositions de la nouvelle loi lucernoise sur la police. Ces articles ne sont pas compatibles avec la compétence pénale de la Confédération ou constituent une atteinte grave au droit à l'autodétermination en matière de données.
En octobre 2022, le Parlement lucernois a adopté cinq nouveaux articles modifiant la loi sur la police. Ces dispositions portaient notamment sur la surveillance automatisée du trafic ainsi que sur le réseau d'information de la Confédération et des cantons. Un recours a été déposé devant le Tribunal fédéral.
La 1ère Cour de droit public constate vendredi que la recherche automatisée prévoit une saisie optique des véhicules, plaques et occupants compris. Un tel système qui sert avant tout à la poursuite pénale empiète sur la compétence de la Confédération en la matière.
L'adaptation de la loi lucernoise sur la police afin de participer à la plateforme de recherche policière (POLAP) est également problématique. Trop vague, cette disposition rend plus difficile le contrôle par la justice.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Sport
Le beach sprint, la nouvelle discipline qui va dynamiser l'aviron
Il y aura du changement dans l'aviron pour les prochains Jeux Olympiques. Les catégories poids léger vont laisser place au beach sprint. On vous fait découvrir cette nouvelle discipline.
Fin août sur les rives de St-Sulpice, le beach sprint vivait sa première compétition sur sol (et lac) helvétique. Ce sont des rameurs lausannois et étudiants de l'Unil qui ont mis sur pied l'événement. Leur motivation? L'ajout de la discipline au programme olympique. Mais aussi le fait que personne n'avait encore organisé une régate en Suisse. Les organisateurs espèrent ainsi se positionner favorablement pour le jour où des championnats suisses devront avoir lieu.
Sur les rives de la plage du Laviau, une soixantaine de participants, professionnels et amateurs, avaient fait le déplacement. La discipline est relativement jeune. Rappel historique avec Thomas Rywalski, président du comité d’organisation de la régate Beach Sprint Léman.
Mais concrètement, à quoi ça ressemble le beach sprint?
Les courses sont en effet plus intéressantes à voir pour le public qui est sur place. On a les athlètes en visuel tout au long de la régate, contrairement aux épreuves qui se déroules sur plusieurs kilomètres. Et le sprint pour atteindre le bateau et ensuite du bateau jusqu'au buzzer qui valide le temps donne un petit shot d'adrénaline au spectateur.
Mais l'apparition de cette nouvelle discipline signifie aussi qu'une autre doit disparaitre. Ce sont ainsi les catégories de poids léger qui en font les frais. Alors, comment a été accueillie cette nouvelle discipline olympique dans le milieu de l’aviron?
Son caractère olympique devrait néanmoins rapidement donner un coup de boost à la discipline.
À noter également que pour les bateaux en double, les couples seront mixtes pour le tournoi olympique et les championnats du monde.
Vaud
Nord vaudois: inauguration d'une nouvelle centrale d'ambulances
Le Centre de secours et d'urgences du Nord vaudois et de la Broye (CSU-nvb) a inauguré jeudi sa nouvelle centrale d'ambulances à Yverdon-les-Bains (VD), proche de l'entrée d'autoroute Yverdon-Sud. Avec ses cinq bases stratégiques intercantonales, ses 120 collaborateurs et ses 9500 missions annuelles, ce centre s'affirme comme le plus grand service d'ambulances de Suisse romande.
La cérémonie s'est déroulée en présence de la conseillère d'Etat en charge de la santé, Rebecca Ruiz, et de son homologue fribourgeois, Philippe Demierre, selon un communiqué. Le CSU-nvb couvre un bassin de population de 185'000 habitants, est-il précisé.
La nouvelle base d'Yverdon-les-Bains devient désormais le siège principal du CSU-nvb. Il peut accueillir sous le même toit les équipes d'ambulances du dispositif cantonal des urgences préhospitalières ainsi que toute l'équipe administrative du service.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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